L’anatomie d’un nœud

‘’Sans le X on n’a pas de nœud’’

Même s’il s’agit des points simples ou un surjet, le nœud est le gardien de votre suture.

Il est très important à savoir faire correctement des nœuds, aussi importante que la suture même.

C’est quoi un nœud, c’est la fin d’un geste chirurgical. Il est définitif et est décisive, car il va influencer, par lui-même, la guérison et le résultat esthétique.

Le nœud donne en lui-même des complications (granulome, déhiscence de plaie ou anastomose etc.) et il va prévenir des complications si correctement fait.

Le nœud chirurgical doit toujours être plat et bloqué pour assurer la qualité de l’hémostase, l’étanchéité de l’anastomose ou le bon affrontement des berges de la plaie.

1. La techniqued

En principe, quand on fait une suture (points sépares ou surjet) on commence « loin » et on essaie de « venir vers soi ». Ça veut dire que on va insérer l’aiguille sur le bord distal, le plus éloigné du chirurgien (extérieure – intérieure) et, puis insérer l’aiguille dans le bord proximal, le plus rapproché du chirurgien (intérieure – extérieure).

Pour les fils poly filaments trois à quatre nœuds sont assez. Pour les fils monofilaments la « culture chirurgicale » dis que, pour le numéro des nœuds, il faut faire le double du numéro du fils plus un – pour un fils Ethilon 2.0 il va falloir faire 5 nœuds (2×2+1), pour être sûr que le nœud ne va pas glisser et se défaire. (Pour un fils Ethilon 3.0 il va falloir faire sept nœuds – 3×2+1).

Celle-ci est juste à titre orientatif, sorties par expérience, et que vous-mêmes devez décider, car pour les fils monofilaments il est possible que le nœud se défait car le fils est très glissant.

Nœud avec un porte-aiguilled

Après avoir insère l’aiguille dans les deux berges de la plaie, on se trouve avec une plie qui coure de droit a gauche et un fils qui est perpendiculaire à la plaie. Avec la main gauche on tient le fils du côté de l’aiguille et dans la main droite nous avons notre porte-aiguille.

On dépose le porte-aiguille sur le fils (perpendiculaire), et on fait deux tours avec le fils sur le porte-aiguille.

Puis, on attrape le bout libre du fils avec le porte-aiguille et nous avons réalisé un nœud double.

Cela étant, le porte-aiguille est disposé en dessous du fils, et le fils est enroule une seule fois sur le porte-aiguille.

Il s’agit d’un nœud a l’inverse, à propos du premier nœud, qui va bloquer le tout. Et on continu jusqu’à la fin.

Nœud avec les mainsd

On retrouve avec un fils qui passe dans les deux berges de la plaie, voir anastomose digestive, perpendiculaire vis-à-vis de la plaie. Avec la main gauche on tient le fils de bas et avec la main droite on tient le fils qui est insère dans le bord distal. On va croiser les deux parties du fils – le côté gauche va passer en de sous de la partie droite de façon de faire un « X ».

2. Le nœudd

De point de vue académique, nous avons imaginé deux positions des mains (qui sont bien connues dans la pratique) pour aider et accélérer l’apprentissage pour nos collègues en cours d’apprentissage.

Le Coq, le Cowboy et le X –notre recette à propos des nœuds à la maind

2.1.1 Le Coqd

Après avoir réalisé le ‘’X’’, comme décrit avant, le pouce et l’index de chaque main tient le fils et les 3e, 4e et 5e doigts des deux mains sont en extension (comme deux coqs qui si essaient de s’intimider). La main gauche passe avec le fils en de sous la main droite et, bien sûr, le fils de la main droite, de façon de créer un X. Les 3 doigts libre de la main droite (3e, 4, et 5e) attrapent le fils de droit à gauche et l’amené en de sous du fils de la main gauche (c’est le 2e X). Ensuite, grâce à l’X, le 3e doigt de la main droite attrapé le fils et le nœud est fait.

Le Cowboyd

C’est l’inverse du Coq. Les 3e, 4e et 5e doigts des deux mains tient les deux bouts du fils, les 1e et 2e rayon des deux mains sont en extension comme « comme deux armes de poing des cowboy – Colt». Le 3e doigt de la main droite attrapé le fils et le nœud .